«– Jacques, Jacques emmenez-moi ! Bernis est pâle et la prend dans ses bras et la berce. Geneviève ferme les yeux : - Vous allez m’emporter… Le temps fuit sur cette épaule sans faire de mal. C’est presque une joie de renoncer à tout : on s’abandonne, on est emportée par le courant, il semble que sa propre vie s’écoule… s’écoule. Elle rêve tout haut : «Sans me faire de mal.» Bernis lui caresse le visage… - Jacques !… Jacques… Mon fils est mort…»